Laboratoire d'analyses brassicoles
3 Brasseurs
Pour des bières de qualité toute l’année !
Chez 3 Brasseurs, chaque restaurant possède sa propre brasserie. Notre laboratoire est donc amené à analyser un grand nombre de bières chaque année .
Afin de garantir une qualité irréprochable de la production de nos bières, nous avons investi dans un laboratoire interne d’analyses brassicole de pointe, doté d’équipements peu courants en France, pour assurer un suivi rigoureux et précis de nos brassins.
C’est ainsi que depuis 40 ans, nous accompagnons aussi bien les grandes brasseries que les petites structures et les passionnés de houblon dans leur quête d’une bière de qualité.
Une équipe de passionnés pour vous aider & vous guider
Nous sommes une équipe de 5 analystes, passionnés, qui travaillent dans un laboratoire sur Lille de 100 m², équipés de matériel moderne de pointe, nous réalisons chaque année plus de 8 000 analyses brassicoles !
Notre particularité : Proposer un service fiable et rigoureux, à des tarifs vraiment accessibles, aussi bien pour les amateurs qui souhaitent a ner leurs recettes que pour les brasseries professionnelles. Et ce, toujours avec une approche humaine, fidèle à l’esprit du monde brassicole.
Résultats en 4 Jours • 100% de clients satisfaits • transports rapides et fiables • Plus de 85 clients en France • Environ 40 analyses réalisées par jour •
nOS expertises
Nous utilisons des méthodes aussi bien classiques qu’avancées, comme la PCR, pour détecter les contaminations dans la bière.
Choisir le laboratoire 3 Brasseurs, c’est s’assurer d’un partenaire passionné et engagé, prêt à accompagner votre brasserie dans l’optimisation et l’amélioration continue de la qualité de vos bières.
PHYSICo-chimiques
Des analyses pour le contrôle des paramètres essentiels de votre bière :
- Taux d’alcool
- pH
- Turbidité
- Amerturme
- Couleur
MICROBIOLOGIQUES
Des analyses pour la détection d’éléments perturbateurs de votre bière :
- Flore lactique
- Levures sauvages
- Flore microbienne
- Flore bactérienne
Des analyses pour la détection de la contamination de votre bière :
- Saccharomyces diastaticus
- Brettanomyces
- Lactobacillus
- Pediococcus
NOS PRESTATIONS
Ce pack comprend les analyses suivantes :
- Alcool,
- PH,
- Turbidité,
- Amerturme,
- Couleur.
Ce pack comprend les analyses suivantes :
- Détection de la flore lactique,
- Détection des levures sauvages.
Ce pack comprend les analyses suivantes :
- Flore lactique,
- Flore levures sauvages,
- Flore microbienne totale,
- Flore bactérienne totale.
Constituez votre pack !
pas de pression
Vous avez besoin d’une analyse
ou d’une formule sur mesure ?
mieux que nous !
Parce que l’expérience de nos visiteurs est au cœur de notre démarche, nous donnons la parole à ceux qui ont découvert notre laboratoire. Leur retour reflète l’authenticité de nos engagements et la qualité de nos services.
NOS TARIFS à la carte
Envie d’une analyse brassicole de qualité et rapide ?
Si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi nos packs, nous vous proposons également un large éventail d’analyses brassicoles à la carte. Vous pouvez ainsi choisir uniquement les tests qui correspondent à vos besoins : analyses physico-chimiques pour contrôler des paramètres essentiels comme l’alcool, la densité, la couleur ou l’amertume ; analyses microbiologiques pour vérifier l’absence de levures, bactéries ou autres microorganismes indésirables ; ou encore analyses PCR, particulièrement précises, permettant de détecter même de très faibles traces de contamination.
Cette approche flexible vous offre la possibilité d’adapter vos contrôles à vos priorités, que ce soit pour un suivi régulier, une vérification ponctuelle ou une validation avant la mise en marché de vos brassins.
PHYSICo-chimiques
-
Taux d'alcool 20 €
-
pH 5 €
-
Turbidité 5 €
-
Amerturme 35 €
-
Couleur 10 €
MICROBIOLOGIQUES
-
Flore lactique 25 €
-
Levures sauvages 25 €
-
Flore microbienne 25 €
-
Flore bactérienne 25 €
pcr
-
Levures Sauvages : 55 €
- Saccharomyces diastaticus & Brettanonyces
-
Bactéries Lactiques : 55 €
- Lactobacillus & Pediococcus
ils en parlent mieux que nous !
Parce que l’expérience de nos visiteurs est au cœur de notre démarche, nous donnons la parole à ceux qui ont découvert notre laboratoire. Leur retour reflète l’authenticité de nos engagements et la qualité de nos services. Parce que l’expérience de nos visiteurs est au cœur de notre démarche, nous donnons la parole à ceux qui ont découvert notre laboratoire. Leur retour reflète l’authenticité de nos engagements et la qualité de nos services.
Retrouvez ci-dessous les réponses aux questions les plus fréquentes que nous posent nos brasseurs & brasseuses !
ma bière a une odeur ou un goût anormal et désagréable
La fabrication, le conditionnement, le transport et le stockage aussi de votre bière peut avoir un tas d’impacts sur son aspect mais aussi sur son goût et son odeur. On vous résume les principaux “Faux-Goûts” de la bière.
Ma bière sent le vinaigre.
Cette odeur marquée de vinaigre provient généralement du développement de bactéries acétiques, qui transforment l’alcool en acide acétique dès qu’il y a présence d’oxygène. Elles apparaissent surtout lorsque :
- Le moût ou la bière reste trop longtemps au contact de l’air. Celui-ci transporte naturellement des bactéries acétiques, qui vont alors coloniser la bière et, en présence d’oxygène, se multiplier rapidement, ce qui entraîne une forte production d’acide acétique.
- Le matériel de brassage n’est pas parfaitement nettoyé et désinfecté, offrant ainsi un terrain favorable à la contamination.
Pour détecter ce type de bactérie, vous pouvez choisi notre ANALYSE MICROBIOLOGIQUE – Flore bactérienne ou pour un diagnostique plus complet, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE.
Ma bière a un goût de pomme fraîche.
Si votre bière a un goût de pomme pas encore mûre (acétaldéhyde), c’est l’indicateur que votre bière n’est pas prête. Il faut encore qu’elle se repose et finisse sa fermentation. Pensez à effectuer un cold crash ( mise au froid ) suffisamment long, 48h minimum, pour assurer la disparition de ce goût indésirable.
Ma bière a un goût métallique.
- Dans le panel des goûts proposés par les bières, le métal n’est vraiment pas ce que l’on attend. Ce défaut peut être causé par :
- Un matériel non adapté, à l’acier non passivé peut en être la source.
- Des malts mal stockés notamment dans l’humidité peuvent aussi causer l’hydrolyse des lipides contenus dans les céréales provoquant ce goût métallique.
- Un excès d’ions fer présent dans l’eau de brassage fera produire de la bière métallique et accélère l’oxydation et la turbidité de la bière.
A noter: Il n’y a pas de danger pour le consommateur, c’est simplement une bière qui aura mauvais goût !
Ma bière a un arrière-goût de chou, de légumes cuits ou de maïs en boite.
Ce goût peut se manifester surtout dans les bières légères comme les lagers. Pour les ales, on rencontre plutôt un défaut proche, qui se traduit par une forte odeur de pop-corn ou de beurre.
Lorsque ta bière dégage une odeur prononcée de chou ou de légumes cuits, c’est généralement dû à un excès de DMS (diméthylsulfure). Ce composé est naturellement présent dans le moût et, en temps normal, il ne pose pas de problème : il s’élimine progressivement durant l’ébullition.
En revanche, si l’ébullition n’est pas assez vigoureuse, le DMS n’est pas correctement expulsé avec la vapeur. De même, si le refroidissement du moût est trop lent, la formation de DMS continue sans possibilité de s’échapper. Enfin, si l’évacuation de la vapeur est mal assurée, le DMS libéré retombe dans le moût, ce qui donne à la bière ce goût et cette odeur peu agréables, rappelant parfois la choucroute.
Vous l’aurez compris, il ne faut pas effectuer d’ébullition complètement fermée : il faut ventiler soit par extraction soit en ouvrant la porte de la cuve.
Veuillez noter également que les houblonnage à cru (dry hopping) tardif peuvent également développer les précurseurs du DMS n’ayant pas la possibilité d’être évacués par le travail de la levure.
Ma bière dégage une forte odeur de pop-corn et un fort goût de beurre rance.
Ce léger goût, parfois perçu comme agréable en très petite quantité, provient du diacétyle. Dans les ales, il peut être toléré, mais dans une lager, il est considéré comme un défaut, à l’exception des lagers tchèques ce qui en fait une caractéristique propre à celles-ci
Les levures génèrent naturellement du diacétyle au cours de la fermentation, puis elles sont censées le réabsorber et le dégrader en fin de processus.
Si la fermentation est interrompue trop tôt, si les levures sont affaiblies ou stressées, si le moût subit une oxygénation à chaud après ébullition, ou encore en cas de contamination bactérienne, la bière conservera alors cette odeur de pop-corn et ce goût beurré indésirable.
Ma bière a un arrière-goût de yaourt périmé.
Un goût ou une odeur aigre, rappelant le yaourt périmé ou le lait tourné, est souvent le signe d’une contamination par des bactéries lactiques comme Lactobacillus ou Pediococcus.
Ces micro-organismes transforment les sucres résiduels en acide lactique, ce qui acidifie la bière et altère son profil sensoriel.
Ce problème survient généralement dans deux cas :
- Matériel de brassage mal nettoyé : Les bactéries lactiques peuvent former un biofilm : une fine couche visqueuse composée de colonies microbiennes qui adhèrent aux surfaces et se protègent grâce à une matrice qu’elles sécrètent. Si le matériel n’est pas rigoureusement nettoyé et désinfecté, ces bactéries survivent d’un brassin à l’autre et, au contact des sucres, redémarrent leur activité en acidifiant la bière.
- Contamination environnementale : Une exposition trop prolongée du moût ou de la bière à l’air libre favorise le développement des bactéries présentes naturellement dans l’environnement, qui trouvent là un terrain idéal pour se multiplier.
- Matériel de brassage mal nettoyé : Les bactéries lactiques peuvent former un biofilm : une fine couche visqueuse composée de colonies microbiennes qui adhèrent aux surfaces et se protègent grâce à une matrice qu’elles sécrètent. Si le matériel n’est pas rigoureusement nettoyé et désinfecté, ces bactéries survivent d’un brassin à l’autre et, au contact des sucres, redémarrent leur activité en acidifiant la bière.
Pour détecter ce type de bactérie, veuillez choisir l’ANALYSE MICROBIOLOGIQUE – Flore lactique ou ANALYSE PCR – lactique ou pour un diagnostic plus complet, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse.
J'ai un problème avec ma bière
Ma bouteille / canette de bière a explosé avant l’ouverture. Pourquoi ?
Il peut arriver qu’une bouteille ou une canette de bière explose avant même son ouverture. Cette surpression interne est généralement liée à une contamination de la levure, soit par une levure extérieure (levure sauvage), soit par une contamination croisée lors du process.
Dans ce cas, la levure poursuit son activité dans la bouteille ou la canette, transformant encore les sucres en CO₂, ce qui entraîne une accumulation de gaz et une explosion due à la pression excessive.
Pour prévenir ce type de problème, invisible à l’œil nu, il est fortement recommandé de réaliser des analyses microbiologiques et PCR afin de détecter rapidement d’éventuelles contaminations.
Pour détecter ce type de levure, choisir ANALYSE MICROBIOLOGIQUE – Flore levure sauvage ou ANALYSE PCR – levure sauvage ou pour un diagnostic plus complet, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse.
Lors de l’ouverture de la bouteille/canette, ma bière déborde (gushing). Pourquoi ?
Vous avez repeint votre plafond avec votre bière fraîchement ouverte ? Il s’agit du phénomène de “gushing”. Ce terme désigne un excès de CO2 qui peut être lié à :
- une refermentation en bouteille ou canette non désirée
- une mauvaise maîtrise du taux de sucre/levure
- un problème lors du conditionnement
- la présence de particule de houblon
Plusieurs causes peuvent expliquer ce désagrément :
- Embouteillage trop précoce : la fermentation n’était pas totalement terminée, les levures poursuivent alors leur activité dans la bouteille.
- Temps de garde insuffisant, notamment avec des bières aux fruits riches en polyphénols : ces composés favorisent la formation de mousse si le trouble n’a pas été correctement éliminé.
- Mise au froid trop courte et mauvaise clarification après dry hopping
- Excès de sucre ajouté à l’embouteillage pour la carbonatation : il génère une surproduction de gaz.
- Contamination microbiologique : bactéries ou levures sauvages introduites lors du refroidissement, de la fermentation (par exemple lors d’un dry hopping), ou encore à l’embouteillage, peuvent provoquer une fermentation indésirable.
Pour détecter ce type de levure, choisir ANALYSE MICROBIOLOGIQUE – Flore levure sauvage ou ANALYSE PCR – levure sauvage ou pour un diagnostic plus complet, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse.
Comment savoir si ma bière est contaminée ?
Si votre bière a un goût trop acide, cela peut être dû soit à une trop forte présence d’acide lactique ou d’acide acétique.
Pour confirmer l’origine du problème, il est recommandé de réaliser des analyses ciblées :
- Flore lactique : détection de Lactobacillus et Pediococcus.
- Flore bactérienne totale : mesure de la charge bactérienne hors levures.
- PCR Détection lactique : identification précise et rapide des souches responsables.
- Alcool et densité : pour voir l’impact de la contamination sur les paramètres physico chimiques
- pH : vérification d’une acidité anormale.
Pour détecter des contaminations, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE. Une seconde analyse par PCR pourrait permettre d’orienter sur le genre et l’espèce du micro organisme et l’analyse physico-chimique à la carte pour la mesure de l’ALCOOL/DENSITÉ/pH
Ma bière est devenue trouble alors qu’elle est supposée être claire.
Une bière supposée limpide qui devient trouble peut avoir plusieurs causes :
- Le trouble à froid : certaines protéines issues du malt et les polyphénols des houblons peuvent s’associer et former un trouble colloïdal.
- Des levures en suspension : Si votre bière n’a pas été suffisamment clarifiée ou filtrée, des restes de levures peuvent rester et avec le temps peuvent troubler ensuite la bière.
- Une contamination microbiologique : Des bactéries peuvent aussi être la cause de ce trouble.
Pour comprendre la nature du trouble, il est recommandé de réaliser des analyses adaptées :
- Turbidité – mesure précise de la clarté de la bière.
- pH – permet de détecter une éventuelle contamination.
- Flore microbienne totale / Flore bactérienne – pour évaluer si le trouble est lié à une contamination.
- Flore levures sauvages & PCR levures sauvages – pour identifier des levures indésirées pouvant provoquer un trouble et une refermentation.
Pour détecter ce type de défauts, choisir le pack NE BAISSE PAS TA GARDE et l’analyse physico-chimique à la carte pour la mesure de la TURBIDITÉ.
La réglementation
Quelles analyses sont obligatoires pour mettre une bière sur le marché en France ?
En France (et plus largement dans l’Union Européenne), les brasseurs doivent respecter certaines obligations légales avant de commercialiser leur bière.
La seule analyse réglementaire indispensable est la teneur en alcool (TAV). Vous devez mesurer le degré d’alcool afin de pouvoir étiqueter votre bière (directive européenne 1169/2011.
D’autres analyses sont fortement recommandées mais non obligatoires :
- PH, couleur (EBC) et amertume (IBU) : pour assurer la conformité avec le style annoncé et la constance des brassins.
- Analyses microbiologiques (flore lactique, levures sauvages, flore bactérienne totale) : pour vérifier l’hygiène et la stabilité, éviter les contaminations et garantir la sécurité du produit.
- Tests PCR : de plus en plus utilisés pour sécuriser les brassins destinés à l’export ou aux longues durées de conservation (bouteilles/canettes).
Notre laboratoire peut vous accompagner dans toutes ces analyses. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse en fonction de votre budget et de vos priorités de production et libération
Qu’est ce que je risque si j’indique le mauvais taux d’alcool sur l’étiquette de ma bière ?
Dans l’Union Européenne, il est obligatoire d’indiquer la teneur en alcool de votre bière.
Pour les boissons titrant plus de 1,2 % vol. d’alcool et jusqu’à 5,5% vol/alcool, la réglementation prévoit une tolérance maximale de ±0,5 % vol. entre le degré affiché sur l’étiquette et le degré réel mesuré. Au delà de 5,5% vol.alcool la tolérance passe à ± 1% vol/alcool.
En cas de non conformité du TAV indiqué et du TAV réel, vous risquez des :
- Sanctions administratives : amendes pour étiquetage trompeur (jusqu’à 1 500 € pour une personne physique et 7 500 € pour une personne morale, art. R. 454-1 du Code de la consommation).
- Sanctions pénales possibles en cas de fraude caractérisée (pratique commerciale trompeuse, art. L121-2 et suivants), pouvant aller jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 300 000 € d’amende.
- Retrait des lots du marché par la DGCCRF en cas de contrôle et non-conformité constatée.
Pour éviter tout risque lié à un étiquetage erroné, choisir une analyse d’ALCOOL à la carte – pour 20 euros vous serez serein !
Comment confirmer une contamination de la bière en cas de litige ou de procédure judiciaire ?
Lorsqu’un problème survient, il peut être essentiel d’apporter une preuve scientifique concernant l’état de votre bière. Notre laboratoire d’analyses brassicoles est en mesure de réaliser ce type d’analyses, qu’il s’agisse d’un litige commercial, d’un dossier d’assurance ou d’une contestation de lot. Nos rapports d’analyses, détaillés et documentés, sont conçus pour être recevables et exploitables dans le cadre d’une procédure
Notre laboratoire peut vous accompagner dans toutes ces analyses. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse en fonction de votre budget et de vos priorités de production et libération
Comment valider une nouvelle bière avant un concours ou pour un lancement ?
Avant de présenter votre nouvelle bière à un concours ou pour tout simplement mettre une nouvelle bière sur le marché, il est important de vérifier qu’elle est conforme au style annoncé.
Ainsi, plusieurs paramètres doivent être vérifier :
- La teneur en alcool (TAV), qui est une vérification obligatoire pour l’étiquetage.
- L’amertume (IBU), par exemple, une bière blanche à 30 IBU sera jugée trop amère pour son style ; à l’inverse, une IPA trop faible en IBU ne sera pas crédible dans sa catégorie.
- La couleur (EBC), doit aussi correspondre au style.
- La turbidité, qui va montrer aussi une cohérence avec le style attendu (une pils limpide vs. une NEIPA trouble).
Notre laboratoire peut vous accompagner dans toutes ces analyses. Le pack PETIT CHIMISTE répond parfaitement à ce type de besoin
Notre laboratoire peut vous accompagner dans toutes ces analyses. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse en fonction de votre budget et de vos priorités de production et libération.
Suis-je obligé(e) de faire une analyse de ma bière maison ?
Non, si vous brassez pour votre consommation personnelle ou pour faire profiter vos proches de vos talents, vous n’êtes soumis à aucune obligation d’analyse ! Vous pouvez brasser, déguster et offrir vos bières sans contrainte réglementaire particulière. Vous pouvez réaliser des analyses pour votre propre curiosité et notamment pour mieux comprendre ou améliorer vos recettes.
Des tests simples comme la mesure du pH, de la turbidité ou de la teneur en alcool (TAV) sont très accessibles financièrement et permettent de mieux comprendre vos brassins.
DIVERS
Quels tests garantissent l’absence de contaminants (levures sauvages, bactéries lactiques, etc.) ?
Tout dépend du type de besoin. Notre ingénieur pourra vous accompagner sur le meilleur choix d’analyse. Plusieurs tests peuvent répondre à la question avec un choix à la CARTE ou le choix du PACK NE BAISSE PAS TA GARDE.
Comment mesurer précisément l’alcool (TAV), l'amertume (IBU) et la couleur (ebc) de ma bière ?
Notre pack PETIT CHIMISTE DE LA BIERE permet d’aller au-delà de votre calcul de l’alcool théorique. Notre analyse vous donnera : l’alcool, le pH, la turbidité, l’amertume ainsi que la couleur de votre bière.
Quels paramètres analyser pour améliorer la constance de mes brassins ?
La régularité d’un brassin à l’autre est un enjeu majeur pour tout brasseur : elle garantit que vous retrouvez le même goût, la même couleur et la même expérience à chaque dégustation. Elle vous assure aussi que vos matières premières n’aient pas changé en cours de route sans que vous vous en rendiez compte. Pour s’assurer de la constance de vos brassins, il faut analyser les paramètres physico-chimiques de votre bière.
Nos packs PETIT CHIMISTE DE LA BIERE & NE BAISSE PAS TA GARDE sont les tests qui pourront vous rassurer sur ce point.
Quels tests sont accessibles pour un petit budget ?
Faire analyser sa bière n’est pas réservé aux grandes brasseries. Certains tests de base sont très accessibles financièrement et permettent déjà de sécuriser et d’améliorer vos brassins :
- La teneur en alcool (TAV) à 20 € : c’est l’analyse fondamentale. Elle permet de vérifier que la fermentation est bien terminée et que votre calcul d’alcool théorique correspond bien à votre teneur en alcool réel.
- Le pH et la turbidité à 5 € chacun : des tests simples mais précieux pour évaluer la stabilité de la bière, détecter des dérives éventuelles et mieux comprendre vos process.
Notre laboratoire propose certains des tarifs les plus accessibles du marché français, afin de rendre ces analyses possibles aussi bien pour les brasseries artisanales que pour les brasseurs amateurs qui souhaitent progresser.
Quelles erreurs de process peuvent être détectées en laboratoire?
Nos analyses en laboratoire peuvent identifier les contaminations mais pas que ! Il peut aussi mettre en évidence des erreurs de process ou de conditionnement qui sont indétectables à l’œil nu mais qui auront un impact sur le produit final.
On vous a noté les erreurs les plus fréquentes que nous sommes en capacité de détecter :
- Une fermentation incomplète ou trop prolongée
- Une erreur de dosage dans les matières premières
- Un problème de filtration ou de clarification
- Une contamination croisée
- Un nettoyage du matériel de brasserie incomplet
- La présence de résidus de biofilms
- Un changement de matières premières (parfois à votre insu)
- Un problème avec la levure (soit inactive ou en mauvaise santé)
Comment savoir si mon matériel de brassage est bien nettoyé ?
Une hygiène irréprochable est la base de la qualité en brassage. Pourtant, même après un nettoyage minutieux, il peut subsister des micro-organismes capables de former des biofilms et de contaminer vos brassins. Afin de vous rassurer, nous pouvons réaliser un test des eaux de lavage pour mesurer la charge bactérienne présente dans cette eau.